du 16 au 20 avril et du 14 au 16 mai 2007 Comédie de Valence
du 24 avril au 5 mai 2007 Comédie de Genève
les 10 et 11 mai 2007 Maison de la Culture d'Amiens
du 8 au 11 janvier 2008 Comédie de Valence
du 15 au 19 janvier 2008 TNP de Villeurbanne
du 6 au 23 février 2008 Théâtre de la Ville - Paris
du 25 au 28 mars 2008 Comédie de St Etienne
Texte
Adaptation et mise en scène Christophe Perton
A partir de la traduction de César Gattegno et Béatrice Perregaux
Avec
Gauthier Baillot, Yves Barbaut
Juliette Delfau, Anne Durand
Aurélie Edeline, Ali Esmili
Vincent Garanger, Frédéric Jacot-Guillarmod
Pauline Moulène, Anthony Paliotti
Nicolas Pirson, Samuel Theis
Roland Vouilloz – reprise de rôle par Olivier Werner
Assistante : Aurélie Edeline
Conception et réalisation vidéo : Bruno Geslin et Clément Martin
Création lumières : Thierry Opigez
Création son : Frédéric Bülh
Création costumes : Paola Mulone
Scénographie d’après un projet de Mlgorzata Szcesniak
Assistanat, maquettes et suivi Diane Thibault
Création maquillage : Véronique Désir
Création masques : Cécilia Delestre
Dramaturgie : Pauline Sales
Production comédie de valence. Coproduction Comédie de Genève, Théâtre de la Ville, TNP. Avec le soutien de pro Helvétia et la participation artistique de l’ENSATT
Gauthier Baillot, Yves Barbaut
Juliette Delfau, Anne Durand
Aurélie Edeline, Ali Esmili
Vincent Garanger, Frédéric Jacot-Guillarmod
Pauline Moulène, Anthony Paliotti
Nicolas Pirson, Samuel Theis
Roland Vouilloz
« Il a combattu l’infamie sous toutes ses formes et par tous les moyens : par la poésie, le pamphlet, le discours. Et il a été un maître du discours politique. Il était courageux et tenace. Il a mis en garde contre l’arrivée de la barbarie en Allemagne quand la majorité était encore aveugle. Et quand la barbarie s’est établie dans notre pays sous la forme d’une dictature, quand Ernst Toller est devenu notre camarade d’exil - il n’a pas considéré, contrairement à beaucoup, que le nazisme était la seule et unique forme d’expression de l’infamie. La tragédie du peuple espagnol – pour ne citer que cet exemple – l’a mobilisé tout autant que celle de son propre pays. Car c’était un citoyen du monde, et la notion d’ “humanité” a toujours gardé pour lui le même pouvoir de fascination que lorsqu’il avait vingt ans.» KLAUS MANN, IN ”LE CONDAMNÉ À VIVRE”, ÉDITIONS DENOËL,1999